
Joaquín Ferrer
Pour Joaquín Ferrer, tout semble avoir débuté en mai-juin 1968. Pour une première exposition personnelle, en plein Quartier latin, cela paraît le plus mauvais moment qu’on puisse imaginer ; mais les gaz lacrymogènes n’aveuglaient pas tous les yeux. Des observateurs perspicaces aussi différents qu’Alain Bosquet et Catherine Millet ont aussitôt attiré l’attention sur un artiste qui avait enthousiasm...
Pour Joaquín Ferrer, tout semble avoir débuté en mai-juin 1968. Pour une première exposition personnelle, en plein Quartier latin, cela paraît le plus mauvais moment qu’on puisse imaginer ; mais les gaz lacrymogènes n’aveuglaient pas tous les yeux. Des observateurs perspicaces aussi différents qu’Alain Bosquet et Catherine Millet ont aussitôt attiré l’attention sur un artiste qui avait enthousiasm...
