
Sarah Kofman : philosopher autrement
L’écriture philosophique de Sarah Kofman a eu pour enjeu «?la vie comme texte?». De L’enfance de l’art (1970) à L’imposture de la beauté (1995, posthume), la philosophe a exploré cette question dans un geste de lecture audacieux par lequel elle confronte philosophes anciens (Empédocle, Héraclite, Platon), modernes (Descartes, Kant, Rousseau, Kierkegaard, Comte, Marx) et contemporains (Sartre, Blan...
L’écriture philosophique de Sarah Kofman a eu pour enjeu «?la vie comme texte?». De L’enfance de l’art (1970) à L’imposture de la beauté (1995, posthume), la philosophe a exploré cette question dans un geste de lecture audacieux par lequel elle confronte philosophes anciens (Empédocle, Héraclite, Platon), modernes (Descartes, Kant, Rousseau, Kierkegaard, Comte, Marx) et contemporains (Sartre, Blan...