Quand l'hommage à Dieu, le Maître des maîtres, et aux maîtres mortels, se dessine sur du papier, cela donne comme résultat un « syllogisme pictural aux couleurs spirituelles », un album de couleurs qui se feuillète avec une passion dévorante.
L'idée de ce livre est née du constat que mythe et poésie ont en commun cet air d'atemporalité qui leur confère un côté d'actualité que nous avons pris en charge.
Maître Titinga explore grâce à sa connaissance et son langage magiques l'intérieur de l'homme du désert, de la savane ou des forêts, dans la vie et dans la mort.
Elle l'a aimé au présent et à l'imparfait / Elle a aimé l'aimer c'est un fait / Elle aurait aimé l'aimer en le retrouvant / Elle aimerait l'aimer encore un instant Il l'a aimée sans le savoir / Il a aimé l'aimer dans le noir / Il aurait aimé l'aimer toujours / Il aimerait l'aimer encore un jour
Cet ouvrage est une nouvelle édition, revue et augmentée d'une étude sur le poème phare de la négritude : Cahier d'un retour au pays nataldu poète Aimé Césaire.
The Poetry Book Society's quarterly poetry magazine featuring sneak preview poems, exclusive interviews with major worldwide poets, reviews and extensive listings.
Poèmes traduits de l'anglais par Isabelle SCHWARTZ-GASTINEDans ce premier recueil de poésies publié en Grande-Bretagne et en Inde, l'auteur évoque son pays natal à travers des scènes familiales passées pleines de dignité, des éloges à des poètes, des scènes mythiques ou historiques auxquelles elle donne un sens très personnel.
Le poète espagnol Guillermo Carnero, figure majeure des poètes dits novisimos et spécialiste d'un siècle mal connu et mal aimé en Espagne - le XVIIIème - est l'auteur de onze recueils de poèmes.
Le poète qui n'aura pas été une seule fois au coeur de sa propre jungle dans le doute et l'extase ne peut avoir l'amplitude et l'introspection nécessaires au grand saut.
La folie implique la rupture avec le quotidien, l'évasion qui assure la primauté de l'imagination, le défi à la raison sèche réputée contraignante au profit d'une pensée par libres associations.
Nucléus en poésie : non pas fatalité d'un innombrable effondrement, mais noyau substantiel de vie, nous engageant dans un combat tel qu'il en fut au cours du temps pour rehausser l'indispensable bonheur d'être, une dignité face au levant.
Attentive au devenir du monde, l'auteure, sur le seuil des portes s'ouvrant et se fermant sur les aspirations, les menaces ou les peurs de l'homme, fait se croiser les témoins du passé et les promesses de demain, dans une exigence que seul le langage peut signer et sceller comme une alliance que la mémoire consigne.
En traduisant un livre consacré à Sherry Mercieca, féministe américaine, Boudjemaa Zennouche nous rapporte à la fois les actions de cette femme est ses prises de position, mais aussi les témoignages de ceux qui l'ont connue.
Dans ce recueil, Sylvain Josserand nous entraîne dans un lent cheminement à la manière des haïkistes japonais qui notent volontiers leurs petits poèmes - 17 mores écrits verticalement - en marge du récit de leur randonnée, comme autant de pauses, de points de suspension.
Si tu pouvais comprendre / La rose est mon sourire / L'avenir de ton nom / Le présent de notre partage / Oh ma toute petite / Oh ma tant aimée / Par quels degrés d'absence / La Chair / S'est-elle obscurcie ?
L'auteur nous invite à découvrir Saint-Étienne de façon poétique et décalée selon trois axes : la mémoire ancienne et récente, les habitants des immeubles populaires et, enfin, une enfance stéphanoise.
AEternitas est l'histoire à saisir, comme de soyeux instants de grâce, du couple que forme l'homme avec la femme à longueur de pouvoir, de plaisir contre haine, entre dialogues et meurtrissures, promesses ou compromis.
Shéol, recueil de poèmes habités par le désir de saisir ne serait-ce qu'une fois, la cristallisation des sentiments, la fugacité de l'instant, les paradoxes persistants et les hantises insolubles pour que l'ensemble lié par les mots puisse suspendre le temps.
Du déferlement du désir d'arpenter la planète aux gestes inventés des batailles secrètes, qui altèrent, éclairent et ponctent chaque nouvelle rencontre, Pier Bertrand nous dit sa poésie au rythme de reproductions d'oeuvres d'art tout aussi singulières.
Comme s'il se substituait à Dieu, le poète, marqué certes par la tragédie humaine qui sévit en Afrique Centrale, essaie de recréer un monde au-delà de toutes frontières.
Dans ce florilège (poèmes écrits entre 1998 et 2010), l'auteur nous sert quelques émanations de son âme, tantôt mélancolique, enthousiaste, tantôt optimiste, humoriste et consolatrice voire prométhéenne face à la condition humaine et à sa relation avec l'être transcendantal.
Winner of the John Pollard Foundation International Poetry PrizeWinner of the Christopher Ewart-Biggs Literary PrizeThe Sun is Open sifts through a boxed archive of public and private materials related to the life and death of the author's father, who was murdered by the IRA outside their Belfast home in 1984.