Au lendemain de la grande guerre, un jeune normalien, agrégé d'anglais, présente ses souvenirs de captivité outre-Rhin où il a été détenu en camp et forteresse de 1916 au début de 1919.
L'auteur a souhaité faire partager aux lecteurs la singularité du statut personnel des Juifs du Maroc sans passer par une étude historique ni juridique de ce fait.
Cet ouvrage retrace l'itinéraire personnel d'une enfant puis d'une adolescente, écrasée par les conventions et les obligations anachroniques d'un milieu social et religieux étouffant.
Jésuite missionnaire, pour témoigner et surtout partager, Roland Pichon a pratiqué son apostolat au Tchad, en Zambie, en Rhodésie du Sud (Zimbabwe), en Martinique, aux Seychelles.
Au dortoir, on chuchote, dans les couloirs, on se faufile, les secrets se confient à l'écart sous les grands arbres de la cour, tandis que des notes de piano s'envolent sans permission.
L'auteur revient sur sa vie en Pologne de 1930 à 1945, dans laquelle il mêle la grande Histoire et l'histoire quotidienne de tous ceux qui ont partagé son quotidien; les membres de sa famille, les amis, les compagnons d'infortune.
A travers cet ouvrage, le commandant Mbassi voudrait faire connaître l'histoire et l'évolution de l'armée camerounaise, non à partir de ses idées ou d'anecdotes aux sources douteuses, mais par un récit authentique, dont les différents contours donnent de riches enseignements tant sur les ressorts cachés de l'auteur que sur les sujets militaires qu'il évoque et qui sont ancrés dans l'actualité.
A la fin des années 60 à Cotonou, Gabriel Roth et Michèle Acquaviva-Pache se rencontrent; il vient d'Israël, elle arrive de Paris; seul point commun : l'écriture.
Depuis la période révolutionnaire (1963-1991), les gouvernements successifs ont mis en place une politique qui a martelé un discours ouvertement anti-Lari afin d'isoler ceux-ci pour les exterminer, en particulier dans le Pool, province du sud du pays, perçu comme un nid de contre-révolution.
Si les mémoires personnels ne peuvent pas cerner tous les aspects de la vie de leur auteur, il n'en demeure pas moins vrai qu'ils mettent la lumière sur les volets les plus importants de cette existence.
Je crois que je n'aurais jamais envisagé de publier ces carnets si la situation que connaît actuellement le Dar For ne m'avait pas paru aussi dramatique.
Dans ce récit relatant les souvenirs de guerre d'un jeune garçon vivant avec ses parents dans une ferme du bocage breton, on sent que le jeune spectateur a vécu intensément les événements qu'il rapporte.
Dans ce récit monographique, auteur relate la vie quotidienne, les habitudes, les règles du vivre-ensemble et exhume certaines valeurs culturelles tels que la parenté, la famille, l'enfance, l'alimentation, les activités champêtres, les religions, les croyances, les rituels, la musique, les danses, les costumes, les jeux.
Comme le préfacier, Dr Boris Cyrulnik, l'auteur, à l'âge de 8 ans, à été abandonnée à l'Assistance publique afin de la sauver de ceux, nazis et complices français, qui appliquaient la "solution finale" dans l'Hexagone.
Dans ces mémoires, qui couvrent les années 30 et 40, l'auteur se retourne sur son enfance et son adolescence, majoritairement gasconnes, mais incluant également quelques belles années dans le Vercors.
Roger Tindilière témoigne de ce qu'était réellement la vie en France de l'immédiat après-guerre jusqu'aux années 80, et décrit les problèmes de logement ou encore les conquêtes de la Libération.
Le Bus (théâtre itinérant de la chanson) et le Pétrin (cave à chansons) ont rejoint dans l'histoire tous les cabarets qui ont fait les belles soirées de la rive gauche de Paris en défendant la chanson française (le Bateau ivre, le Cabaret d'Art et d'Essai, le Cheval d'Or, la Colombe, la Contrescarpe, l'Écluse, l'École buissonnière, le Port du Salut…).
Exercer en prison quand on est professeur des écoles, c'est assurer une mission très particulière de l'Education nationale, au-delà de la lutte contre l'illettrisme qui est cependant prioritaire.
A travers son récit autobiographique, l'auteur nous livre des souvenirs qui lui sont chers, autant de liens forts qui l'unissent aujourd'hui encore à son pays de naissance, la Roumanie.
Qu'ils soient drôles, tendres ou au vitriol, les portraits d'une bonne trentaine d'hommes et de femmes qui ont accompagné la vie scolaire de l'auteur, d'abord en tant que maîtres puis comme collègues, illustrent ici une savoureuse photo de classe.
A travers les observations des faits et gestes et réactions des nombreux usagers des lignes d'autobus, desservies sur l'ensemble du réseau de la RATP, l'auteur nous fait découvrir à sa façon, la place et le rôle important joué par le machiniste.