L'Historien et les images s'organise en une suite de quinze essais éclairant le statut et l'exploitation des images dans la quête historienne depuis Pétrarque et les premiers « antiquaires » et numismates de la Renaissance jusqu'à notre siècle.
Les dispersions trouvent leur origine dans des notes de voyage prises lors de périples dans le désert du Hoggar, Tassili n’Ajjer, M’zab, Aurès, notamment.
On sait que la « lecture » d'un texte est le résultat de la confrontation de l'acquit personnel de chacun avec les données qui lui sont proposées, sous forme d'une suite de signes symboliques.