This colletion of Poems, Love Sonnets and Thoughts have managed to make it thought close to fourthy years of fires, floods, thefts, moves and crazy moves.
This book contains the first two collections of poetry by the award-winning Irish-language poet, Nuala Ní Dhomhnaill, 'An Dealg Droighin' (1981) and 'Féar Suaithinseach' (1988).
Ces poèmes sont une errance dans soi pour arriver à l'être recherché, une descente dans l'enfer du quotidien stérile et la douceur du souvenir, une rencontre au détour du hasard avec une mémoire meurtrie.
Ce recueil s'ancre dans la tradition populaire mais la réinterprète avec la création d'un monde imaginaire puissant, un nouvel Âge mythique où se mêlent une patrie hors du temps, l'amour pour une femme idéale, si charnelle était-elle, et la Parole transformatrice.
Au gré du rythme et des phonèmes / Dont tu ne sais où ils te mènent / Ecoute naître en ton esprit / Des airs de ronde et de sonnet / Par la syllabe et la métrique / A pas comptés l'écho d'un chant / Qui passe un mur d'orchestre en chambre
"La poésie de Paul Mari n'a rien à proprement parler d'une partie de plaisir bien qu'elle dispense de singulières jouissances : avec les simples mots des hommes de tous les jours, le poète de Coaraze nous révèle l'absurdité d'une réalité égarante en laquelle il décèle une métaphysique des petits riens où notre existence se défait, où nos jours et nos nuits se dissipent en poussières de particules grises.
"Le livre de Chehem Watta ne vise pas la démonstration, ni l'exégèse, il est poème, cantique d'amour à Rimbaud, à la corne d'Afrique et à l'union des deux, reconnaissance et prière.
C'est le cri de désespoir d'un Président d'association d'écrivains qui négocia en vain la libération d'un autre Président d'association d'écrivains, sexagénaire qui mourra dans l'obscurité carcérale pour ce que les puissances d'Etat appellent " délits d'opinion ".
Ecriture toute en nuance pour saisir les liens qui se tissent dans nos rapports avec l'orange et la goutte d'eau et la place qu'ils tiennent dans notre espace intérieur.
Ce soir, j'irai à la lune gitane/ Voir chanter et danser le peuple Gitans/ Leurs chants me feront bonne escorte/ Aux lueurs ombragées devant les portes.
Au cœur d'un monde cerné par le chaos et par la violence des institutions politiques, de jeunes poètes élèvent des cris spasmodiques, des interrogations qui se résument en une question vertigineuse, horizon de cette écriture poétique à deux voix : comment comprendre que le Diable naguère vaincu sous la croix domine le monde avec autant d'arrogance ?
Dès l'aube, Louis Raoul parcourt les rives du langage, le feu des encres l'enveloppe, son arc explore les corps éternels devant les eaux qui s'étendent.
Quand l'art, ce panneau que l'on tend à l'insaisissable, n'est pas la "seule vie possible", mais la seule heuristique, il n'y a qu'une objection que l'on puisse retenir à l'atroce esprit classique : polir et repolir cela seul qui saurait en réfléchir sincèrement l'énigme-poème, miroir impénétrable où se déjoue l'étrange d'un regard.
Des chants de l'expérience sans cesse répétée : l'exigence sur soi suivie de résignation, de relâchement ou, au mieux, de trouvailles dont le soleil décline très vite.
Ce nouveau numéro rassemble des voix de poètes tels que Jean Cassou, Edouard Glissant ou Guillaume Apollinaire pour rendre hommage à Milosz, ainsi que celles d'universitaires qui ne cessent d'analyser les sources du charme si particulier de ces textes.
En étudiant le cas des Poètes en Construction de Nezahualcoyolt (México), cet ouvrage propose une réflexion sur la potentialité de création d'un "mouvement social urbain poétique" qui se développe dans les "quartiers d'origine spontanée".