Ces poèmes sont une errance dans soi pour arriver à l'être recherché, une descente dans l'enfer du quotidien stérile et la douceur du souvenir, une rencontre au détour du hasard avec une mémoire meurtrie.
Rêve Émoi oscille entre rêveries douces et acides, âpres et bienveillantes, contes absurdes et réalité, avec toujours une mélodie qui fait du bien à l’âme !
Ce recueil de poèmes a pour ambition de mettre en valeur sous les auspices d'une balade poétique, les figures de la paix et du développement en Afrique et au sein d'un monde où la quête de l'unité entre les peuples et dans l'individu se construit au sein d'une adversité intérieure et extérieure.
Qu'en liberté les mots s'assemblent faisant advenir, que le désiré remplisse le désirant, que le recherché comble la recherche, que jamais satisfaction n'engendre satiété!
Pour marquer l'un des objectifs de LINOU (Linguistique, Identité, Normativité et Ouverture), un laboratoire d'étude et de recherche, le professeur Dassi (université de Yaoundé-I) publie Oremus Poésie et Développement.
Quand vous entrerez dans ces pages, suivez cette voix d'outre-lexique, localisez la langue, attrapez-là et serrez ; vous pourrez alors commencer à tirer, en douceur mais sans faiblir : le chant montera forcément.
Ce premier recueil est un chant du patriotisme africain, le cri d'un enfant noir pour appeler les africains du monde entier à prendre part à la grande construction de l'Afrique.
Entre poésie et philosophie, l'essai choisit l'une des figures les plus illustres de la poésie arabe des années 1930 : Abul Qacem Chabbi, pour y puiser les innombrables traits de cette union controversée.
Ce recueil établit un parallèle entre deux trilogies : sur un carré de terre, la femme, le sud et la civilisation; sur l'autre, l'homme, le nord et l'incivilisation.
Le secret des mots trace les contours poétiques d'une poésie à la fois vivante et vivifiante dont les péripéties transcendent la sensibilité profonde d'un jeune poète noir en quête d'une création qui le mènera dans un univers intime, inconnu du commun des mortels, le plaçant dans le secret des mots et non pas dans le secret divin.
Les tombeaux de la mémoire est une image-symbole qui représente la tête de l'homme, conçue comme un vaste cimetière, jalonné de tombeaux, à l'intérieur desquels sont enterrées dans le secret le plus absolu, des idées et des pensées.
"L'ombre de la flamme" luit de la lumière antérieure à la lumière, celle qui prévient le feu dans le crissement du givre, roule d'étoiles en étoiles dans l'immobile cerne des ténèbres, voit l'écart dans la confusion des pas, éclaire le rassemblement du large dans les mains de l'aube.
Né à Chiraz vers l'an 1320, Shams al-dîn Mohammad Hâfez, plus connu sous le pseudonyme de Hâfez, s'impose au même titre que Sa'adi, Ferdowsi ou Mowlavi, parmi les grands maîtres de la poésie et de la culture persanes.
Cet ouvrage est le premier d'une trilogie qui ambitionne de rendre compte des itinéraires de la poésie ivoirienne, en fixant des repères en proposant un panorama, le plus vaste possible, de cette poésie riche, vivace, vivante.
Plonger parmi les phrases, comme les vagues pour éprouver la roche, le pesant, la matière dure du jour et dessiner avec le sable des voyelles, la courbe tendre d'un rivage, le profil aimé d'une femme et tout le futur qu'elle prodigue.
Jean-Luc Pouliquen nous offre ici plus que des notes sur son voyage à Sofia en Bulgarie mais une série de tableaux vivants sur la ville, ses intellectuels, sa cuisine, ses jardins et ses odeurs.
"Un bleu de poche / Illustre l'ensemble de ces poèmes / Une couleur à portée de main / de tout lecteur / Une poignée à saisir pour soi / dans chaque image chaque cassure / Tantôt le bleu grince / tantôt il s'illumine / suivant ces obstacles ces écueils / défiant les habitudes les cadences / le temps lui-même.
"Le poète, par les présentes livraisons, réaffirme sa personnalité et le sens de sa plume : un peintre talentueux, parfait observateur des contrées de toutes configurations et des lieux de mémoires.
Promesses d'un coeur entre deux silences d'Elle, ces lettres me viennent d'aussi loin que je puisse maintenir présents, dans un seul instant, l'inaccompli d'il sera et l'accompli d'il était une fois !