Le portrait de Dorian Gray peut être compris comme un véritable manifeste de l'art pour l'art dans lequel Oscar Wilde illustre sous forme romancée la genèse, l'achèvement mais aussi le devenir d'un magnifique portrait.
En hommage à Violaine Houdart-Merot, cet ouvrage rassemble des textes qui convergent vers une approche vivante de la littérature où l'esthétique du divers apparaît orientée par une logique de recherche, mais aussi par la ligne de force d'une réflexivité commune sur la nature des Humanités contemporaines.
Anecdotes surgies de l'imagination ou puisées au fond de la mémoire, ces nouvelles mettent en scène un petit peuple malgache dont l'existence routinière est soudain bouleversée par un événement parfois grotesque,souvent dramatique.
Rodrigue, ayant retrouvé son père et réussi sa résilience, s'engage sur son chemin d'excellence, qui le conduit du lycée Schoelcher de Fort-de-France, dont il rêvait depuis son plus jeune âge, jusqu'à l'Ecole Normale Supérieure de la Rue d'Ulm à Paris, sur les traces d'Aimé Césaire son illustre ancêtre.
La mélancolie habite ce récit désenchanté qui se déroule sans chronologie véritable, comme un long panoramique sur l'enfance, les amours, les errances, mais aussi les expériences, déceptions et bonheurs d'un professionnel du cinéma et d'un amoureux des avant-gardes du septième art.
Trois fils directeurs ressortent des études ici proposées : d'une part le rapport de l'homme au monde et à travers lui, le rapport de l'homme à Dieu ; d'autre part la confrontation entre cette interrogation spirituelle, qui fonde l'entreprise poétique, et les Écritures, dont la lecture très personnelle irrigue de manière profondément intime la pensée de l'auteur ; enfin le souci de l'écriture qui affleure sans cesse dans l'œuvre poétique de Jean Grosjean dont les travaux de traducteur révèlent aussi une maîtrise consommée du langage.
Ce roman évoque deux générations d'Africains, les anciens dotés d'une sagesse certaine, qui ne comprennent pas toujours un monde moderne fait d'argent et de gloire.
Travers et revers est un recueil de nouvelles qui plonge le lecteur dans la vie de personnages divers, ponctuée d'évènements plus ou moins douloureux dans lesquels déception, bravoure, trahison et regrets sont d'une omniprésence riche d'enseignements.
Passionné par la vie citadine et hanté par l'idée de se soustraire à une vie misérable, Dima, jeune paysan, quitte sa mère et son village avec l'idée de faire fortune en ville.
A Paris, au Moyen-Age, Jehan étudiant au quartier Latin rencontre Tahir le Sarrazin, un exilé égyptien qui a gardé la nostalgie de Qâhira (Le Caire), la ville qui l'a vu naître.
En voulant faire du lobbying pour sa nomination au poste stratégique de directrice générale adjointe de l’Agence nationale pour l’Emploi (ANE), Debbo Sy, un cadre supérieur du pays de Gaal, était loin de s’imaginer que ses idéaux, sa vie, sa personne allaient s’embourber dans les méandres d’une culture organisationnelle profondément sexiste où la calomnie charpente souvent un plafond de verre, difficile à briser.
