Cet ouvrage se veut une contribution à une intuition rationnelle et objective des racines des abus présents qui sont aujourd'hui causes de la gangrène qui fragilise l'Institution ecclésiale en territoire de la missio ad gentes, notamment en Afrique, depuis les origines de la mission jusqu'à ce jour.
L'auteur voit la crise que traverse en ce moment l'Église africaine comme le résultat d'un catéchisme cérébral et notionnel déconnecté du vécu socioculturel.
S'appuyant principalement sur les Annales de la propagation de la foi, cet ouvrage à la portée historique et ethnologique s'intéressent aux difficultés que rencontrèrent les missionnaires français en Inde au XIXe siècle.
Le mouvement religieux créé par le couple Olangi-Wosho sur les deux rives du fleuve Congo (Kinshasa et Brazzaville) en 1991 compte plus de 180 sièges sur quatre continents.
L'anthropologie religieuse nous enseigne que l'homme n'est homme en tant qu'homo religiosus, celui en qui religion et culture ont la même matrice pour jaillissement.
Même si la production historique et théologique sur les Eglises africaines a été importante, il reste toutefois encore un long chemin à parcourir pour que les christianismes africains soient mieux connus.
Engagé pour les droits de l'homme au Congo, pour les libertés religieuses en France et pour la reconnaissance des Eglises chrétiennes d'expression africaine en Occident, quand on demande à l'auteur d'où il tire ses forces, il répond dans la prière et dans la vie de ma communauté.
L'une des caractéristiques de notre époque semble être l'affaiblissement du religieux : l'auteur l'interprète comme l'étouffement progressif en l'homme du désir d'éternité.
A metaphysical interpretation of the New Testament, which teaches oneness as the only truth, and surrender (or letting go) as the practice that leads to spiritual enlightenment.
Après s'être interrogé sur le système de valeurs qui a modelé les rapports entre la religion et la culture, l'auteur poursuit ici sa réflexion sur une sécularisation qui a donné naissance à la « laïcité à la française », le déni du fait religieux apparaissant caractéristique d'une culture républicaine née de la Révolution.
Cet ouvrage est un regard croisé de professionnels avisés et de simples témoins s'interrogeant sur l'enseignement coranique dans un pays fier de sa tradition et soutenant la thèse selon laquelle une part des maux de l'Afrique serait d'ordre spirituel.
La théologie politique en Afrique est confrontée à un problème important : le contraste entre la bonne santé spirituelle et la mauvaise santé temporelle des Africains.
Parmi les prélats camerounais de haut vol, le Cardinal TUMI, aujourd'hui archevêque émérite de Douala, est celui qui aura accepté de révéler un pan de sa vie pastorale et spirituelle.
Organisant sa lecture de ces pages si nombreuses en neuf chapitres rangés dans un ordre de progression évident, depuis la Révolution et sa transmission par l' Écriture et la Tradition jusqu'à l'eschatologie en passant par la Trinité, le Christ et sa Mère et l'Église , le père Boduka conduit à un chapitre récapitulatif ou il dessine les traits .
Assistant à la déchéance physique de ses parents vieillissant, l'auteur acquière l'absolue certitude de l'immortalité de la chair et propose dans ces "lettres à lui- même" en forme de stances, d'hymnes et d'imprécations sur la condition royale et servile de l'homme, des méditations sur le mariage chrétien et au delà les sémiologies de l'Homme et de la Femme.
Ce livre rassemble les débats de six pratiquants de différentes traditions religieuses autour de questions liées à l'éducation : La paix est-elle une utopie ?
L’approche épiscopale de la réconciliation qui corrèle la vérité, la justice, l’amour et la liberté, apporte quelles harmoniques à la mission de l’Église et implique quels engagements sociopolitiques de la part des chrétiens ?