"Publiez ce que vous payez" : à partir de cette interjection apparemment simple s'est déployée un vaste mouvement d'organisation de la société civile actuellement présent dans plus de 50 pays, pour réclamer une gestion plus responsable des revenus générés par l'exploitation des ressources naturelles.
L'ouvrage a pour objectif de présenter d'une manière simple et accessible au plus grand nombre, les règles et principes de base que tout entrepreneur Africain, se devrait de respecter, concernant le financement de son entreprise.
The global economic crisis revealed a high fragility of growth in African economies, especially among those that are heavily dependent on commodity export.
Cet ouvrage propose un changement paradigmatique, après que les nombreuses politiques de développement ont manqué à la promesse de la prospérité partagée dans les pays en développement.
Ce livre est le prolongement du colloque de Cotonou, dont le thème « Comment améliorer les pratiques de l’apprentissage en Afrique Noire » a été approfondi.
Une part accrue de l'électronucléaire dans le mix électrique mondial est d'autant plus indiquée que cette source d'électricité est à très haute densité énergétique, efficace, sûre, fondée sur une technologie robuste et de pointe, s'inscrivant dans le cadre des préoccupations actuelles de réduction drastique de la pollution et répondant aux critères de la politique bas carbone promue en Occident.
A partir d'études de terrain au Sénégal, au Burkina Faso, au Cameroun mais aussi en Inde et en Chine, ce dossier permet de comprendre comment se décline et évolue, dans la diversité des territoires, le modèle d'accès à Internet des pays en voie de développement : partagé ou mutualisé, offert dans les différents types d'établissements, publics, privés, associatifs, communautaires.
Cet ouvrage se fixe pour objectif d'analyser l'articulation entre les processus de démocratisation et les politiques de développement et d'évaluer les discours actuels des institutions internationales ou étatiques : que signifie au juste "la bonne gouvernance" ou que recouvre "l'économie solidaire", comment se jouent les relations entre acteurs privés, États et organisations intergouvernementales, peut-on encore parler d'une césure entre les politiques de développement au niveau international et les processus que l'on observe au niveau local, y compris dans les pays occidentaux?
Dans un monde de guerres, d'échanges inégaux, d'accentuation des inégalités et autres "désastres humanitaires", les intellectuels du Sud formulent des analyses fortes pour sortir du cercle vicieux de la dépendance commerciale, financière, réglementaire.
La Commission européenne, malgré ses affirmations sur son « exceptionnel » engagement en faveur de sa lutte proclamée contre la pauvreté en Afrique subsaharienne, ne serait-elle pas, en dernière analyse, un maillon faible du système d'aide international, lorsque l'on compare la modestie de ses financements avec l'extrême dispersion de ses interventions, le nombre de pays concernés et les moyens humains mis à disposition ?
Au moment de l’effondrement des rentes minières et pétrolières, l’innovation et l’économie du savoir sont plus que jamais au centre de la problématique du développement des pays du Sud.
Devant l'uniformisation de la pensée et du cadre de vie, devant l'orientation tendanciellement inhumaine de l'histoire, face aux hypothèques multiples qui pèsent sur le devenir individuel et sur le devenir-ensemble des sujets humains, face enfin aux risques de catastrophe pour l'homme, pour les sociétés et pour la planète tout entière, n'est-il pas urgent, plus que jamais, de philosopher ?
Les groupes industriels et financiers qui pilotent la mondialisation, avec l'aval des institutions politiques, poussent plus des deux-tiers de la planète dans la précarité, la pauvreté, le chômage, l'exclusion sociale.
La plupart des travaux réalisés sur le développement durable ont tenté de définir le concept, de proposer des méthodes d'analyses, des objectifs, voire des perspectives de mise en oeuvre.
En dépit des moyens financiers mobilisés en faveur des infrastructures économiques et sociales, certains choix se sont traduits par des bilans contrastés, notamment dans les pays en développement.
Ce précis, basé sur une étude de cas d'entreprise durable et inclusive, donne le ton pour la valorisation des ressources locales, la promotion de l'entrepeneuriat chez les jeunes, l'empowerment surtout des femmes pour leur autonomisation continue, des solutions adaptées aux réalités africaines et surtout une création de valeur collective sûre.
L'ouvrage dépeint l'évolution de la situation foncière en Afrique subsaharienne : la montée de la pression foncière liée à la croissance démographique, à la dégradation écologique et aux pratiques d'exploitation minières, ainsi que les comportements des acteurs (usagers, autorités locales, Etat).
« L'Afrique doit s'endetter autant que possible pour financer, en partie, son développement économique », affirme Djelhi Yahot, contredisant orthodoxie et théorie.
Ce livre tente de présenter les différentes facettes de la politique commerciale des Etats-Unis, de l'Union Européenne et de la Suisse, qui ont systématiquement cherché à entraver la production et l'exportation de médicaments génériques de qualité afin d'assurer des bénéfices élevés à leurs entreprises pharmaceutiques et, d'autre part, de retracer dix ans de débats infructueux à l'OMS pour faciliter l'accès à des médicaments innovants, appropriés, d'un coût abordable, aux pays à revenus faibles.
« L’ouvrage de Bambala Philippe Ouattara traite du processus de sortie des pays africains du sous-développement, cause d’une pauvreté qui est avant tout matérielle et intellectuelle.
"Aujourd'hui, Joseph Kabila, après avoir conduit la RDC à la démocratisation, nous propose de retourner au travail pour ensemble réaliser le rêve d'au moins trois générations de militants du progrès: construire le Congo.
Le développement financier favorise-t-il la croissance économique et la réduction de la pauvreté dans les pays en développement, et notamment dans les pays du sud méditerranéens ?
Quarante ans après son avènement, la communication pour le développement (CPD) demeure dans l'air du temps, pour une raison bien simple : elle est liée à la démocratie.
Le modèle de la Banque Culturelle est parvenu à créer une interdépendance entre deux objectifs apparemment contradictoires : celui du développement local, a priori tourné vers le progrès et l'avenir, et celui de la lutte contre le trafic illicite de biens culturels, tourné vers la mémoire et le passé.