Comment, dans les métropoles d'Amérique latine, s'effectue l'approvisionnement alimentaire d'une population croissante et socialement très contrastée ?
La ville fait l'objet de questionnements multiples : elle est devenue un objet de pensée qui fait appel à des méthodes, des modes de rationalité, des types de représentation, qui s'inscrivent dans des histoires et des philosophies différentes.
L'ambition des métropoles est vaste et n'a pas d'égale, comparée aux autres formes de coopération intercommunale, précisément sur le terrain de leur intégration.
Alger connaît les difficultés propres à toute métropole des pays en développement et tente d'y repondre dans un contexte politique interieur riche en ruptures idéologiques.
Alors qu'ils sont confrontés à des problématiques de plus en plus complexes, tous les acteurs de la ville connaissent d'importantes transformations de leurs environnements.
André Prenant (1926-2010) a été un grand pédagogue, formateur, transmetteur de savoir, passeur de connaissances entre les deux rives de la Méditerranée.
Au début des années 60, sur injonction du général de Gaulle, Paul Delouvrier crée un nouvel outil mental qui a permis de structurer l'aménagement de la région Ile-de-France pendant un demi-siècle.
Le projet de ce livre est de montrer que le territoire n'est pas une réalité " en soi ", mais qu'il constitue un enchevêtrement de " clairières " personnalisées qui définissent autant de rapports intimes à l'espace.
Face à la globalisation des échanges, au risque de délocalisation des entreprises et à l'émergence d'une économie basée sur la connaissance et les nouvelles technologies, les villes s'engagent dans des stratégies de recentrage qu'Arnaldo Bagnasco analyse à partir du modèle utilisé pour l'étude des districts industriels.
Dans le contexte d'une économie de l'immatériel et de la connaissance, les nouveaux moteurs économiques sont les services aux entreprises, qui s'implantent généralement dans les métropoles.
Cet ouvrage, le troisième d’une série originale, propose des textes de différents auteurs étrangers et français sur la question de la ville et de l’immigration.
Ce livre a pour objectif général d'identifier les modalités de l'inscription socio-spatiale des étudiants dans la ville, à partir de l'observation simultanée des représentations collectives de l'espace urbain et des pratiques spatiales concrètes.
L'urgence élémentaire d'abriter notre corps nous pousse à habiter : c'est à dire à l'entourer d'un refuge solide qui le garde des intempéries et nous permette de subsister.
Le modèle de développement proposé dans ce livre repose sur trois dimensions possédant chacune un indicateur dominant :- les structures sociales dont les niveaux hiérarchiques sont considérés comme des interfaces les uns par rapport aux autres.
Les cultures urbaines doivent être conjuguées au pluriel et prendre en compte les manifestations autour de l'art, de la musique et des pratiques ludo-sportives.
Au sommaire de ce numéro : Le syndrome de Thonon-les-Bains / Controverses sur les mobilités / Vivre Post-carbone : Tours 2030 / Hommage à Georges Benko / Géographie et pospective / Patrice Braouzec, une oeuvre urbaine / Le biais anti-urbain / La "géoprospective" / Le Grenelle de l'Environnement face aux territoires
Basé sur des démarches entreprises dans plus de 25 pays, ce recueil méthodologique s'appuie sur l'expérience de consultant de l'auteur qui œuvre pour le développement économique de plus de 20 régions.
Il y a pertinence à relier et opposer tout à la fois ces deux instances de la réalité de la ville : d'une part, son apparence visible, perceptible, celle qui forme le quotidien de l'habitant ; d'autre part, la connaissance des structures spatiales et sociales, des systèmes de signes, de représentations et de valeurs, des conflits et modes de domination qui se jouent ou se trament sous une apparence faussement évidente.
Aujourd'hui la ville s'étend du centre administratif, religieux et commerçant, hérité des siècles passés jusqu'aux lointains lotissements qui s'égrènent le long des autoroutes et des voies rapides, en longeant les nouveaux immeubles industriels ou de bureaux qui remplacent progressivement les logements collectifs de première couronne.